Quand les pieds de mes vers sont tes chairs en écrin,
Pour l’envie du plaisir de mes alexandrins,
Recherchant les bons mots aux rimes câlines,
Jouant du galbe du corps de ma Messaline,
Virgulant mes hémistiches au bas des reins,
Enveloppant tes tétons bandés de mes mains,
En recherchant un moment la parenthèse,
Qui renferme des fantasmes, leur genèse,
Apaisant l’excitation d’une césure,
En battant de chaque sonnet, la mesure,
Je viens écrire tes désirs de ma plume,
La trempant en ta cyprine qui exhume,
Pour sur ton corps en dessiner pleins et déliés,
Et assouvir ta jouissance en pointillée.
Pour l’envie du plaisir de mes alexandrins,
Recherchant les bons mots aux rimes câlines,
Jouant du galbe du corps de ma Messaline,
Virgulant mes hémistiches au bas des reins,
Enveloppant tes tétons bandés de mes mains,
En recherchant un moment la parenthèse,
Qui renferme des fantasmes, leur genèse,
Apaisant l’excitation d’une césure,
En battant de chaque sonnet, la mesure,
Je viens écrire tes désirs de ma plume,
La trempant en ta cyprine qui exhume,
Pour sur ton corps en dessiner pleins et déliés,
Et assouvir ta jouissance en pointillée.